photo Les Ré-veillées

Les Ré-veillées

Arnay-le-Duc 21230

Le 21/11/2025

Le temps d'un vendredi par mois, les Ré-veillées et le Château d 'Arnay accueillent des artistes en tous genres pour une ambiance festive toute la soirée ! Au programme de cette soirée : - Le Moult me tarde, quand Dijon se rebelle Lectures théâtralisées sur les combats des dijonnais sur divers événements à travers les siècles. par l'association P'ART'age - La Mala fé C’est un compromis musical et culturel intimiste entre Candombe, Tumbao, Jazz, Tango y Folclore argentino. Le son troublant du Fender Rhodes, le jeu incisif du cajon flamenco et une voix brute vous transporterons dans un univers étrange mais chaleureux. Si la musique est un langage universel, chaque lieu à son accent et ses spécificités. S’adapter impose certains compromis pour arriver à ses fins, c’est le postulat de La Mala Fé… Les puristes se questionneront sur la démarche, pas nous. Possibilité de manger à partir de 19h, réservation obligatoire Organisé dans le cadre du Festival des Solidarités avec le Centre Social du Pays d'Arnay-Liernais

photo Les Ré-veillées

Les Ré-veillées

Lecture - Conte - Poésie, Musique

Arnay-le-Duc 21230

Le 21/11/2025

Le temps d'un vendredi par mois, les Ré-veillées et le Château d 'Arnay accueillent des artistes en tous genres pour une ambiance festive toute la soirée ! Au programme de cette soirée : - Le Moult me tarde, quand Dijon se rebelle Lectures théâtralisées sur les combats des dijonnais sur divers événements à travers les siècles. par l'association P'ART'age - La Mala fé C’est un compromis musical et culturel intimiste entre Candombe, Tumbao, Jazz, Tango y Folclore argentino. Le son troublant du Fender Rhodes, le jeu incisif du cajon flamenco et une voix brute vous transporterons dans un univers étrange mais chaleureux. Si la musique est un langage universel, chaque lieu à son accent et ses spécificités. S’adapter impose certains compromis pour arriver à ses fins, c’est le postulat de La Mala Fé… Les puristes se questionneront sur la démarche, pas nous. Possibilité de manger à partir de 19h, réservation obligatoire Organisé dans le cadre du Festival des Solidarités avec le Centre Social du Pays d'Arnay-Liernais

photo Ré-veillée spéciale Festisol

Ré-veillée spéciale Festisol

Arnay-le-Duc 21230

Le 21/11/2025

À partir de 19 h : Possibilité de dîner sur place. Réservation fortement conseillée 06.79.21.15.75 À partir de 21 h : – Le Moult me tarde, quand Dijon se rebelle Lectures théâtralisées sur les combats des dijonnais sur divers événements à travers les siècles. par l’association P’ART’age – La Mala fé C’est un compromis musical et culturel intimiste entre Candombe, Tumbao, Jazz, Tango y Folclore argentino. Le son troublant du Fender Rhodes, le jeu incisif du cajon flamenco et une voix brute vous transporterons dans un univers étrange mais chaleureux. Si la musique est un langage universel, chaque lieu à son accent et ses spécificités. S’adapter impose certains compromis pour arriver à ses fins, c’est le postulat de La Mala Fé… Les puristes se questionneront sur la démarche, pas nous. Organisé dans le cadre du Festival des Solidarités avec le Centre Social du Pays d’Arnay-Liernais Participation Libre

photo Ré-veillée spéciale Festisol

Ré-veillée spéciale Festisol

Musique, Festival généraliste, Jazz - Blues

Arnay-le-Duc 21230

Le 21/11/2025

À partir de 19 h : Possibilité de dîner sur place. Réservation fortement conseillée 06.79.21.15.75 À partir de 21 h : – Le Moult me tarde, quand Dijon se rebelle Lectures théâtralisées sur les combats des dijonnais sur divers événements à travers les siècles. par l’association P’ART’age – La Mala fé C’est un compromis musical et culturel intimiste entre Candombe, Tumbao, Jazz, Tango y Folclore argentino. Le son troublant du Fender Rhodes, le jeu incisif du cajon flamenco et une voix brute vous transporterons dans un univers étrange mais chaleureux. Si la musique est un langage universel, chaque lieu à son accent et ses spécificités. S’adapter impose certains compromis pour arriver à ses fins, c’est le postulat de La Mala Fé… Les puristes se questionneront sur la démarche, pas nous. Organisé dans le cadre du Festival des Solidarités avec le Centre Social du Pays d’Arnay-Liernais Participation Libre

photo Conférence « À l’aube de l’art moderne : l’école de Paris »

Conférence « À l’aube de l’art moderne : l’école de Paris »

Patrimoine - Culture

Châtillon-sur-Seine 21400

Le 30/03/2026

Au début du XXe siècle, grâce au rayonnement de l’Impressionnisme et du Fauvisme, Paris est une capitale attractive, réputée pour accueillir la modernité et l’avant-garde. Un critique crée l’expression « École de Paris » pour évoquer des artistes venus de pays absents de liberté, majoritairement d’Europe de l’Est, se retrouvant à Montmartre et Montparnasse. Ce sont Foujita, Chagall, Modigliani, Soutine, Brancusi, Picasso, et bien d’autres. La notion d’école ne renvoie pas à un apprentissage en commun mais plutôt un art figuratif en dehors des sentiers battus, des émotions personnelles partagées, une liberté totale d’expression artistique. De 1920 à 1960, deux générations caractérisent l’École de Paris. La première, celle des artistes actifs avant la Grande Guerre et jusqu’à l’entre-deux-guerres. La seconde alimentée par les vagues d’immigration après la Seconde guerre mondiale allant jusque vers 1950. En écho au voyage annuel, les artistes présentés dans cette conférence sont choisis en fonction des collections du musée d’Art moderne de Troyes. ----- Brigitte SERRE-BOURET est docteur en Histoire de l’art et archéologie, Conservateur en chef honoraire du patrimoine. Après[...]

photo Conférence « À l’aube de l’art moderne : l’école de Paris »

Conférence « À l’aube de l’art moderne : l’école de Paris »

Conférence - Débat

Châtillon-sur-Seine 21400

Le 30/03/2026

Au début du XXe siècle, grâce au rayonnement de l’Impressionnisme et du Fauvisme, Paris est une capitale attractive, réputée pour accueillir la modernité et l’avant-garde. Un critique crée l’expression « École de Paris » pour évoquer des artistes venus de pays absents de liberté, majoritairement d’Europe de l’Est, se retrouvant à Montmartre et Montparnasse. Ce sont Foujita, Chagall, Modigliani, Soutine, Brancusi, Picasso, et bien d’autres. La notion d’école ne renvoie pas à un apprentissage en commun mais plutôt un art figuratif en dehors des sentiers battus, des émotions personnelles partagées, une liberté totale d’expression artistique. De 1920 à 1960, deux générations caractérisent l’École de Paris. La première, celle des artistes actifs avant la Grande Guerre et jusqu’à l’entre-deux-guerres. La seconde alimentée par les vagues d’immigration après la Seconde guerre mondiale allant jusque vers 1950. En écho au voyage annuel, les artistes présentés dans cette conférence sont choisis en fonction des collections du musée d’Art moderne de Troyes. ----- Brigitte SERRE-BOURET est docteur en Histoire de l’art et archéologie, Conservateur en chef honoraire du patrimoine. Après[...]

photo Como una baguala oscura

Como una baguala oscura

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle

Beaune 21200

Le 28/02/2026

Nina Laisné célèbre deux figures du folklore argentin : le danseur Néstor ‘Pola’ Pastorive et la pianiste Hilda Herrera. En traversant le récit de vie de cette extraordinaire pianiste et compositrice, une des rares femmes à s’être imposée dans le monde très masculin du folklore argentin, le spectacle reflète l’histoire politique d’un pays qui longtemps a censuré ses compositions. Au piano, Hilda Herrera - présente par la vidéo - commente, raconte, et entre en dialogue avec les zapateos, ces danses traditionnelles des gauchos, revisitées avec virtuosité et sans virilisme par Néstor ‘Pola’ Pastorive. Une danse affranchie, gravitant entre déséquilibre et résonance. Nina Laisné et Néstor ‘Pola’ Pastorive signent une performance scénique poétique, délicate et puissante, à l’image de ces artistes libres et novateurs qui n’ont jamais sacrifié l’essence populaire de leur art. conception, mise en scène, création scénographie et costumes Nina Laisné, chorégraphie et interprétation Néstor ‘Pola’ Pastorive, enregistrements audios et vidéos – piano et composition Hilda Herrera, pièces à 4 mains Sebastián Gangi, création lumières Shaly López, ingénierie du son Arthur Frick, régie[...]

photo Como una baguala oscura

Como una baguala oscura

Spectacle

Beaune 21200

Le 28/02/2026

Nina Laisné célèbre deux figures du folklore argentin : le danseur Néstor ‘Pola’ Pastorive et la pianiste Hilda Herrera. En traversant le récit de vie de cette extraordinaire pianiste et compositrice, une des rares femmes à s’être imposée dans le monde très masculin du folklore argentin, le spectacle reflète l’histoire politique d’un pays qui longtemps a censuré ses compositions. Au piano, Hilda Herrera - présente par la vidéo - commente, raconte, et entre en dialogue avec les zapateos, ces danses traditionnelles des gauchos, revisitées avec virtuosité et sans virilisme par Néstor ‘Pola’ Pastorive. Une danse affranchie, gravitant entre déséquilibre et résonance. Nina Laisné et Néstor ‘Pola’ Pastorive signent une performance scénique poétique, délicate et puissante, à l’image de ces artistes libres et novateurs qui n’ont jamais sacrifié l’essence populaire de leur art. conception, mise en scène, création scénographie et costumes Nina Laisné, chorégraphie et interprétation Néstor ‘Pola’ Pastorive, enregistrements audios et vidéos – piano et composition Hilda Herrera, pièces à 4 mains Sebastián Gangi, création lumières Shaly López, ingénierie du son Arthur Frick, régie[...]

photo Visite autour du patrimoine ferroviaire de Venarey-Les Laumes

Visite autour du patrimoine ferroviaire de Venarey-Les Laumes

Venarey-les-Laumes 21150

Le 18/09/2021

Des origines antiques à l'avènement du chemin de fer, Venarey-Les Laumes détient aujourd'hui un important patrimoine industriel ainsi que des trésors anciens et contemporains souvent insoupçonnés. Suivez notre guide-conférencier pour découvrir les multiples facettes de la ville, son développement et le patrimoine lié à son axe de circulation ferroviaire. Débutant en extérieur, la visite se poursuivra par la découverte de la rotonde ferroviaire et de son pont tournant. Organisée par le Pays d'art et d'histoire de l'Auxois Morvan, en partenariat avec la SNCF et l'Office duTourisme, du Commerce et de la Culture du Pays d'Alésia et de la Seine.

photo Pippo Delbono | Amore

Pippo Delbono | Amore

Dijon 21000

Du 28/01/2022 au 29/01/2022

Il a créé au fil du temps son propre langage théâtral et composé sa « drôle » de compagnie. Une langue qui puise librement dans les ressources du cinéma, de la chorégraphie, du verbe et de la musique, pour évoquer des silhouettes étranges et pourtant familières, clowns, majordomes ou danseuses, surgies d’un rêve qui semblent revenir de très loin, de la nuit des temps. Et pour incarner ces figures, une compagnie d’interprètes fidèles, des présences qu’on n’avait encore jamais vues en scène. Pour cette nouvelle étape de son voyage dans l’art et dans l’existence, Delbono est parti de l’isolement dans lequel l’a enfermé la pandémie, et du besoin d’y réagir très simplement en se remettant en quête de l’Amour. Or cette quête, pour lui, passe par le Portugal. Pourquoi ? Parce qu’il y voit, dit-il, un pays mélancolique et généreux où la nostalgie déchirante du fado semble naître de la musique de la langue. Parce qu’il veut rester ouvert à « la possibilité de la joie », encore et toujours prêt à accueillir ce qui pourrait l’entraîner dans une danse qu’il ne connait pas encore.

photo Pippo Delbono | Amore

Pippo Delbono | Amore

Danse - Bal - Cabaret, Musique

Dijon 21000

Du 28/01/2022 au 29/01/2022

Il a créé au fil du temps son propre langage théâtral et composé sa « drôle » de compagnie. Une langue qui puise librement dans les ressources du cinéma, de la chorégraphie, du verbe et de la musique, pour évoquer des silhouettes étranges et pourtant familières, clowns, majordomes ou danseuses, surgies d’un rêve qui semblent revenir de très loin, de la nuit des temps. Et pour incarner ces figures, une compagnie d’interprètes fidèles, des présences qu’on n’avait encore jamais vues en scène. Pour cette nouvelle étape de son voyage dans l’art et dans l’existence, Delbono est parti de l’isolement dans lequel l’a enfermé la pandémie, et du besoin d’y réagir très simplement en se remettant en quête de l’Amour. Or cette quête, pour lui, passe par le Portugal. Pourquoi ? Parce qu’il y voit, dit-il, un pays mélancolique et généreux où la nostalgie déchirante du fado semble naître de la musique de la langue. Parce qu’il veut rester ouvert à « la possibilité de la joie », encore et toujours prêt à accueillir ce qui pourrait l’entraîner dans une danse qu’il ne connait pas encore.